Préparer la beauté du printemps, maintenant.

L’année dernière à l’automne, je travaillais encore à temps plein comme auxiliaire de vie alors il ne m’a pas été possible de préparé le printemps correctement.

Mais cette année j’ai pris les devants, j’ai passé ma commande de bulbes courant juillet, une étapes cruciale et silencieuse.

J’ai fait le choix de sélectionner des variétés naturalisables, qui pourront rester en terre et refleurir année après année.

 

Pourquoi ce choix ? 

Parce que j’aime l’idée d’un jardin qui s’enrichit naturellement avec le temps, sans tout recommencer chaque année.

Parce que c’est plus doux pour la terre, plus respectueux du vivant, et aussi plus durable dans ma manière de cultiver. C’est tulipes-là ne sont pas les plus spectaculaire du premier coup, mais elles s’installent, s’adaptent, se multiplient parfois et deviennent de vraies compagnes du jardin.

 

Des variétés choisies avec soin 

J’ai sélectionné des tulipes :

  • rustiques, adaptées à la culture en pleine terre, 
  • aux teintes douces et naturelles, 
  • à floraison échelonnée, pour étaler la magie du printemps le plus longtemps possible

Certaines sont simples, d’autres un peu plus originales, mais toutes ont ce petit « quelque chose » en plus : la capacité à revenir. 

 

Plantation en vue

La plantation commencera courant octobre, selon la météo. 

Je repense les lignes du jardin pour préparer les zones … et je me rejouis déjà de les voir sortir au printemps. 

Penser le jardin sur le long terme

Planter des bulbes naturalisables, c’est faire le choix du temps long. 

C’est accepter que la beauté s’installe doucement, qu’elle ne soit pas immédiate,  mais qu’elle gagne en force chaque année. 

C’est aussi une manière de laisser une empreinte florale plus durable, fidèle à ma vision d’une ferme florale artisanale, respectueuse de la terre et de son rythme. 

Pour suivre les plantations, decouvrir les premières pousses ou réserver vos bouquets de tulipes au printemps : suivez nous sur instagram : https://www.instagram.com/l_etang_de_papi/

 

A bientôt, 

Charlène